Voir la version complète : Stress et psoriasis
Des poussĂes de psoriasis peuvent Ătre paraĂt-il, favorisĂes par le stress. Aussi je me demande si certains hypnothĂrapeutes ont pu Ătre amenĂs ⥠agir sur ce phĂnomĂne en focalisant leur attention sur le stress ou autre chose. Plus globalement, est-ce que certaines maladies de peau ont pu disparaĂtre par le biais de l'hypnose ou l'auto-hypnose ?
Nicolas Kent
30/12/2005, 12h41
J'ai pu en effet agir sur un problĂme de peau du ⥠un stress. Ma cliente ne m'avait pas dit d'oË venait ce problĂme, ni son nom.
J'ai juste agit en sachant que le stress semblait avoir une influence sur ce problĂme. Une fois les ennuis de stress rĂglĂs, la peau a repris et gardĂ son apparence normal.
centreconseil
30/12/2005, 18h17
J'ai dĂj⥠reĂu des personnes pour le psoriasis.
Il est vrai que l'action de l'hypnose permet
⥠la fois d'agir sur le stress et donc de soulager les dĂmangaisons,
mais Ăgalement de diminuer voir de supprimer complĂtement le psoriasis.
Les problĂmes de peau sont dus un un conflit de sĂparation.
(double sĂparation en ce qui concerne le psoriasis)
Le terme de sĂparation ne doit pas Ătre considĂrĂ au premier degrĂ.
Il peut s'agir par exemple d'un dĂmĂnagement,
d'un changement important ou encore d'un sentiment d'abandon.
Les techniques de visualisation fonctionnent Ăgalement
assez bien en hypnose pour "laver" un psoriasis.
J'ai souvenir de ce Monsieur
avec qui j'ai eu de trĂs bons rĂsultats en 3 sĂances.
1Ăre sĂparation : absence du pĂre (fort sentiment d'abandon)
2Ăme sĂparation : divorce de ses parents
Le psoriasis s'est dĂclenchĂ juste aprĂs le divorce des parents.
Cet homme exprimait sa rĂvolte envers son pĂre :
Il disait que Ăa le "dĂmangeait" d'aller lui casser la figure,
maintenant qu'il Ătait adulte !
Chaque fois qu'il parlait de son pĂre, il se grattait.
Ses expressions : Ăa me ronge, je suis ⥠fleur de peau,
il faut que Ăa explose, je bouillonne, etc.
Nous avons travaillĂ sur l'agressivitĂ et la colĂre envers son pĂre.
Un travail de visualisation et de mĂtaphores a Ăgalement ĂtĂ utile.
Les problĂmes de peau sont dus un un conflit de sĂparation.
(double sĂparation en ce qui concerne le psoriasis)
Je ne m'y connais pas trop dans ce genres de diagnostics. S'agit-il d'hypnoanalyse ? Est-ce que c'est vraiment systĂmatique ? En quoi est-ce que le lien est si Ăvident ?
Je ne conteste pas. Mais j'aimerai que tu partages ton expĂrience la-dessus afin de me permettre de mieux comprendre sur la base de quoi on peut faire le raccourci entre un problĂme de peau et une thĂmatique abstraite du passĂ de l'individu ? :)
Les problĂmes de peau sont dus un un conflit de sĂparation.
Toutes les maladies de peau sont psychosomatiques ?
centreconseil
30/12/2005, 21h59
En fait, ce rapprochement se fait en psychobiologie.
Le principe est que le symptĂme ou la maladie dĂpend d'un conflit.
La maladie est une solution de survie pour le corps.
C'est ainsi que ce qui est liĂ :
aux os, reprĂsente un conflit de dĂvalorisation
⥠l'articulation, reprĂsente une dĂvalorisation liĂe au mouvement,
aux vertĂbres, reprĂsente L5 conflit sexuel, L4 conflit familial,
au crâne, reprĂsente une dĂvalorisation intellectuelle,
au foie, reprĂsente la peur de manquer, etc.
Selon la partie du corps,
nous pouvons trouver les principaux besoins de la personne :
Appareil digestif : besoin d'acceptation du monde extĂrieur
Respiratoire : besoin de libertĂ et de sĂcuritĂ
Urinaire : besoin de repĂres
Sanguin : besoin d'Ătre
etc.
Si le sujet t'intĂresse, tu peux lire :
Psychobiologie de la guĂrison (E. Rossi)
DĂcodage biologique des maladies (Christian FlĂche)
Mon corps pour me guĂrir (Christian FlĂche)
centreconseil
30/12/2005, 22h04
Toutes les maladies de peau sont psychosomatiques ?
95 % des symptĂmes sont psychosomatiques !
Certains disent 100% mais je prĂfĂre rester prudent !
Le Dr Hamer qui est ⥠l'origine du dĂcodage des symptĂmes
et des maladies est allĂ en prison pour l'avoir affirmĂ ! :(
Christophe
30/12/2005, 22h32
Le Dr Hamer qui est ⥠l'origine du dĂcodage des symptĂmes
et des maladies est allĂ en prison pour l'avoir affirmĂ !
C'est marrant je ne suis pas ĂtonnĂ.
Merci pour les rĂfĂrences biblio.
En hypnose Ăa ne dois, logiquement, pas trop nous aider ⥠accompagner mieux le client (sauf ⥠faire de vilaines projections :wink: ) mais l'info est intĂressante et mĂrite d'Ătre creusĂe ⥠titre perso.
ansadajl
30/12/2005, 23h11
et si qqun ayant un pseuriasis ou exaema n'a consciemment aucun conflit avec ses parents ou proches, ca devient bcp plus difficile de diagnostiquer la cause et donc la resolution du pb s'en complique, non?
ou alors, peut etre qu'on demande a l'inconscient de rechercher la cause et de trouver un autre comportement mieux adaptĂ...
une brËlure, une egratignure ... qui parfois peuvent Ătre trĂs graves? En quoi sont elles psychosomatiques ? Leur Ăvolution l'est sËrement, mais leur dĂclenchement ?
Et si on ne parvient pas ⥠dĂterminer un quelconque conflit ou ĂvĂnement qui puisse Ătre ⥠l'origine de telle ou telle maladie, que fait-on ?
Christophe
31/12/2005, 00h24
De l'hypnose :wink:
De l'hypnose :wink:
Je n'en doute pas Christophe. J'ai cru comprendre qu'il n'Ătait pas nĂcessaire de connaĂtre l'origine de certains symptĂmes pour avoir une action sur eux mais il me semble que Patrick alias centreconseil et nĂanmoins hypnothĂrapeute indiquait a donnĂ l'exemple d'un psoriasis sur lequel il avait "travaillĂ" en ayant connaissance de l'origine du problĂme psychologique du "patient". Aussi ma question est de savoir comment fait-on si on ne rĂussit pas ⥠dĂceler un ĂvĂnement particulier qui puisse Ătre le dĂclencheur d'une pathologie ?
Christophe
31/12/2005, 14h28
Comment il fait lui je ne sais pas, comment je ferais moi ? Avec de l'hypnose. Et lâĄ, je m'Ăforce en gĂnĂral de ne pas trop savoir d'oË vient un symptĂme (mĂme si je pose la question au client parfois :wink: ).
Je soulignais par ma rĂponse qu'au cas oË on ne peut mettre en relation un symptome avec une quelconque origine (imaginĂe, ou non), Ăa n'a pas beaucoup d'importance pour la sĂance d'hypnose.
Mais nous avons tous des faĂons diffĂrentes de percevoir l'hypnose, et la faĂon de Patrick est trĂs certainement aussi valable que n'importe quelle autre. Ce qui compte ce sont les rĂsultats :)
centreconseil
31/12/2005, 17h31
En fait, la psychobiologie n'est qu'un repĂre.
Il s'agit simplement d'une grille de lecture qui m'aide juste
⥠poser des questions plus ciblĂes.
Il existe des tas d'autres approches tout autant intĂressantes
pour nous donner des repĂres.
En aucun cas, j'irai affirmer ⥠la personne
qu'elle a eu tel ou tel ĂvĂnement.
Il ne s'agit surtout pas de l'nfluencer avec des questions du genre...
"cherchez bien...vous avez du traverser une pĂriode difficile ⥠tel âge !"
Je crois simplement que le dĂcodage biologique
peut nous donner des renseignements utiles
pour repĂrer plus vite l⥠oË nous devons intervenir.
Par exemple, en ce qui concerne la personne et son psoriasis :
Peut-Ătre qu'en travaillant ⥠tatons,
il aurait fallu quelques sĂances de plus.
Le fait de savoir que le psoriasis est liĂ a un conflit de sĂparation
m'a permis de lui poser les bonnes questions.
Comme vous le savez, l'idĂe n'est pas d'interprĂter.
En thĂrapies brĂves, il n'y a jamais d'interprĂtation.
Cela m'est donc simplement utile pour gagner du temps.
En gĂnĂral, moi qui travaille sur de trĂs courtes durĂes
allant de 1 ⥠3 sĂances seulement,
j'avoue que le fait de poser des questions prĂcises est une aide prĂcieuse.
Maintenant, il est vrai qu'en hypnose,
nous n'avons pas besoin de savoir puisque notre inconscient sait.
Seulement, comme il existe des centaines de techniques
et que chaque personne qui consulte a un parcours diffĂrent,
il peut Ătre utile de travailler la bonne technique au bon moment.
Pour te rĂpondre Antoine: Depuis 10 ans que je travaille avec les travaux de Hamer, j'ai pu vĂrifier que dans TOUS les cas il y avait une composante "psy". Avec des sportifs, en travaillant sur la composante "psy" nous avons „amĂliorĂ de maniĂre significative les temps de "rĂparation" aprĂs des blessures.
Concernant le psoriasis: C'est bien deux conflits de sĂparation mais un des deux doit Ătre en phase de rĂsolution. Ensuite il y a un phĂnomĂne d'autoalimentation du problĂme qui fait que le pso devient chronique.
Quelquefois je suis surpris par le type de sĂparation que je rencontre...
Pour le symbolisme des organes je reste rĂservĂ sur les exemples de Patrick car l'expĂrience montre que ce n'est pas tout ⥠fait juste. Dans tous les cas j'applique ce que Kevin nous dit "Ătre ⥠l'Ăcoute du patient car c'est lui qui a la solution"
En ce qui concerne Hamer, c'est grace ⥠ses travaux que mon fils a pu Ătre dĂbarrasĂ de sa maladie (il avait 5 ans). Alors Merci ⥠lui.
Bonne annĂe ⥠tous
Pierre
Nicolas Kent
01/01/2006, 13h10
Je voudrais juste modĂrer un tout petit peu vos propos, car en hypnose on apprend a ne pas Ătre aussi catĂgorique ;)
Sans doute qu'en effet pour toi Pierre tout ce que tu as pu traitĂ avait une composante psy.
Peut Ătre mĂme QUE tout a une composante psy (j'avoue que je le pense, mais je garde ma libertĂ de croyance en sĂance pour Ătre complĂtement adapatable ⥠l'autre, comme le veut la "doctrine" de l'hypnose ericksonienne.)
Tout ce qui compte est le rĂsultat, je suis d'accord. Vous avez de trĂs bons rĂsultats je suis d'accord, mais modĂrons nous, modĂrons nous :)
Bonne annĂe
Tu as raison Nicolas
MĂme si Hamer donne de bonnes indications, c'est le patient qui as la solution...
Je vous dis juste:
ÂŽNE ME CROYEZ PAS, FAITE VOTRE PROPRE EXPERIENCEÂȘ Et mĂme quand je dis cela ÂŽNE ME CROYEZ PASÂȘ
G.G.
merci pour vos prĂcisions.
Si j'ai bien compris, malgrĂ ma naĂvetĂ caractĂristique :wink: ; ces correspondances entre symptĂmes et expĂrience sont des ĂlĂments de psychobiologie pure qui peuvent Ăventuellement servir ⥠titre indicatif ⥠l'hypnotiseur ericksonien, sans pour autant Ătre fiable ⥠100%.
Hamer dit "si vous trouvez un cas qui ne marche pas selon les lois que j'ai Ătabli, alors je retire tout ce que j'ai dit"
⥠toi de le faire arrĂter...
Moi j'ai pas encore rĂussi!!!
Bonne annĂe et bonne chance Antoine
Pierre
Christophe
01/01/2006, 18h57
j'ai pu vĂrifier que dans TOUS les cas il y avait une composante "psy".
Si je peux me permettre une petite question : dans tous les cas de quoi ? Quels cas ?
Pour lessoprtifs je suis d'accord il y a un facteur psy important. Mais pas seulement. La prĂparation physique joue un rĂle au moins aussi importante. Cette prĂparation peut Ăgalement Ătre amĂliorĂe en insistant sur la partie psy certes, mais Ăa nous fait au moins deux sous ensembles important sur cet exmeple : le psy et le physisque.
D'oË ma question : quels cas ?
Il existe des symptĂmes qui doivent peut Ătre sortir de cette rĂgle. En virologie par exemple. Il est certain qu'on se remet mieux ou qu'on traite mieux un de ces cas quand on prend Ăgalement en charge la partie psy, mais ⥠l'origine le symptĂme ne semble pas directement lià ⥠une origine psy. Il doit exister d'autres cas sans doute, non ?
Trauma physique par exemple ? Sous-alimentation ou malnutrition ? d'autres encore ?
B>onjour ⥠tous!
Il semble que l'on parle bcp des travaux du dr Hamer, je tiens ⥠rappeler que ce dernier n'a pas simplement Ătait emprisonnĂ pour avoir affirmĂ que 100% des maladie Ătait d'origine psychologique (ce qui ne me parrait pas abĂrant), mais ⥠cause de la mort de patients atteint du cancer et pour pratique illĂgale de la mĂdecine (c'est ce que j'ai lu sur le net).
Si vous avez d'autres info merci de les faire partager.
Merci
Pour Christophe:
Quand je dis "tous les cas" c'est juste tous les cas que j'ai eu ⥠traiter depuis 10 ans... C'est vrai que les autres m'ont ĂchappĂs.
Mais on peut en parler hors forum
Pour fliphop:
Hamer Ătait mĂdecin. Son habilitation ⥠exercer lui ⥠ĂtĂ retirĂe.
Il ⥠ĂtĂ emprisonnĂ pour avoir continuĂ a faire des diagnostics aprĂs avoir perdu son habilitation.
Quand ⥠la mort de patients, je te laisse libre de penser de que tu penses.
Mais n'oublions pas que le sujet est le psoriasis...
Et que l'hypnose est un super outil
Cordialement
Pierre
Christophe
01/01/2006, 19h47
Quand je dis "tous les cas" c'est juste tous les cas que j'ai eu ⥠traiter depuis 10 ans... C'est vrai que les autres m'ont ĂchappĂs.
J'ai bien compris Petrus. Mais comme tu dis que tu te bases sur les travaux d'un mĂdecin et que ce dernier affirme visiblement que tout est d'origine psy (si j'ai bien compris, en fait je ne connais pas du tout le mĂdecin citĂ en rĂfĂrence), c'est la position de ce mĂdecin qui m'intĂresse.
Un mĂdecin qui dit Ăa est dĂj⥠suffisament rare, alors je m'intĂroge sur le bien fondĂ de cette affirmation. Pure curiositĂ. Et aussi car de prime abord je ne suis aps d'accord avec cette affirmation (d'oË les questions un peu plus haut concernant la virologie, ou les symptĂmes consĂcutifs ⥠des traumas par exmeple). Si son affirmation est limitĂe au seules maladies non virologiques ou non consĂcitives ⥠un ĂlĂment extĂrieur (climatique par exemple), alors pourquoi pas en effet.
Si tu as des ĂlĂments de rĂponse ou des prĂcisions, je suis intĂressĂ :)
Valerianne
01/01/2006, 20h17
Ăa fait un moment que je me pose toutes ces questions. Je pense que pour certains cas, en effet il y a une composante psychologique et souvent les choses se recoupent.
Toutefois, je tiens ⥠apporter un gros bĂmol. En effet, il existe certains cas ou il peut Ătre dangereux de penser que 100 % des maladies sont d'origines psychologique.
Pour ne parler que de ce que j'ai vĂcu personnellement y'a presque 4 ans. Des douleurs pernitieuses au niveau de la vessie. Le seul diagnostique des mĂdecins : "c'est psychologique !" sauf qu'⥠l'Ăpoque j'Ătais parfaitement heureuse et ⥠tous les niveaux et sans contest (⥠part mes douleurs bien sur), et je n'Ătais pas stressĂe pour deux sous non plus.
J'ai donc cherchà ⥠d'autres niveaux, et j'ai fini simplement par trouver une intolĂrance au LAIT ! j'ai mĂme dĂcouvert par hasard que dans ma famille nous Ătions 3 ⥠avoir les mĂmes problĂmes...
Bref, dans ce cas l⥠Ăa ne porte pas ⥠consĂquence, si ce n'est qu'⥠part arrĂter le lait rien ne pouvait vraiment m'aider et j'aurai pu rester longtemps ⥠penser que c'Ătait psychologique et rester dans la douleur, quel dommage! Je suis sur que dans bien d'autres cas il faut savoir Ătre prudent !
j'ai remarquĂ que le distinction ente le psychologique et le somatique n'Ătait jamais source de consensus, et trĂs peu pratique ⥠manipuler opur la thĂrapie. Cela crĂe souvent des dĂbats qui n'ont pas un sens rĂel si Ăvident
Moi je prĂfĂre considĂrer uniquement la distinction plus empirique et utile de ce qui est conscient et ce qui ne l'est pas. C'est en plus trĂs simple ⥠dĂterminer, vous ne pensez pas ?
Tu as raison Antoine
Psycho ou somatique
Qu'importe le flacon pourvu que le patient aille mieux...
ValĂriane a aussi raison de dire qu'il ne faut pas chercher une raison ⥠tout (quoi que...). Pour bon nombres de choses cela ne vaut pas la peine de chercher midi ⥠quatorze heures.
Et dans tout cela il faut intĂgrer la croyance de chacun!!
C'est ici que l'hypnose imtervient.
centreconseil
01/01/2006, 21h41
Eh bien voil⥠!
Sans le vouloir, j'Ăcris en 2005...
et voil⥠qu'on en parle encore en 2006 ! :wink:
Il faut dire que le sujet est Ăpineux, mais trĂs passionant.
Comme vous le dites tous, ce qui compte c'est avant tout d'aider la personne.
D'ailleurs, Erickson improvisait trĂs souvent des rĂponses sur mesure
pour accompagner ses patients vers le changement.
Lorsqu'un patient faisait un rĂve, Erickson donnait une version positive.
Si un autre patient faisait le mĂme rĂve, il avait droit ⥠une autre dĂfinition !
MoralitĂ : Peut importe le chemin, ce qui compte, c'est la destination.
Christophe
01/01/2006, 21h44
psychologique et le somatique
C'est quoi la nuance exactement ?
ValĂriane a aussi raison de dire qu'il ne faut pas chercher une raison ⥠tout
Je m'avance peut Ătre mais je n'ai pas l'impression qu'elle ai dit Ăa.
En tout cas ce n'est pas ce que j'ai lu. Elle a bien cherchĂ la raison et pour le coup a trouvĂ Ăgalement la solution. Elle ne se situait pas au niveau psychologique visiblement.
psychologique et le somatique
C'est quoi la nuance exactement ?
psychologique : "le psychĂ rencontre une difficultĂ".... il le rĂpercute sous une forme ou une autre sur le corps : c'est la "somatisation" du problĂme "x".... :roll:
en clair, la "tĂte" a un problĂme... "tu" ne comprends pas ou n'entends pas... "elle" te fait un "croquis" sur le corps... ⥠toi de "voir" ⥠quoi correspond le "dessin" nommĂ symptĂme.. :lol: :wink:
Christophe
01/01/2006, 22h18
Je suis d'accord avec toi Lena, d'oË ma question, en relation avec la distinction de ces deux composantes qu'indique Antoine. Elles sont plutĂt complĂmentaires, voir confondues ⥠la base, non ? Comme j'ai pas comrpis, je pose la question :)
Merci LĂna pour la rĂponse
Quand ⥠l'intolĂrance au lait qui cause des problĂmes de vessie.
c'est une des maniĂres de voir la chose.
Il y en a peut Â*tre d'autre
Mais comme dit Patrick :Peut importe le chemin, ce qui compte, c'est la destination
Le dĂcodage est une maniĂre de faire, ce n'est pas LA maniĂre de faire...
:P
petite prĂcision : le somatique est ce qui tient au domaine du corps. Il est synonyme de physique.
On confond souvent somatique et psychosomatique. Ce dernier terme dĂsigne une influence du psychique sur le somatique.
La somatisation est la traduction en symptĂme physique de quelque chose qui ne l'est pas.
Christophe
01/01/2006, 23h17
OK, merci Antoine. De mon cĂtĂ je pars du principe qu'il y a toujours une traduction de ce qui est psychologique initialement vers le plan physique (aussi subtile puisse Ătre cette traduction). C'est pourquoi je ne fais a priori pas de distinction, les deux paramettres Ătant confondus, mĂme si l'un dĂcoule de l'autre hierarchiquement parlant (voir mĂme que l'info peut aller dans l'autre sens ? physique vers psychologique.... je pense que oui). Pour moi, dans la mesure oË tu adoptes ou subit un Ătat interne, il y forcĂment une traduction physique, donc une somatisation. La plupart du temps Ăa n'a aucune importance. Parfois Ăa en a, ce qui devient le symptĂme.
Enfin bref, le tout Ătant de retrouver ses petits :wink:
C'est Ăa...
C'est exactement Ăa!
Pour ma part j'ai le sentiment que c'est une mauvaise faĂon de dĂcouper le fonctionnement de l'individu. Seule la distinction entre ce qui ce fait inconsciemment, sans qu'on n'ai ⥠y penser, (que ce soit psychique ou somatique) et ce qui se fait consiemment (ce ⥠quoi on pense ⥠penser :) ), seule cette distinction, disais-je, me semble encore ⥠peu prĂs intĂressante empiriquement.
Mais encore fois, je suis du genre naĂf. :wink:
Christophe
02/01/2006, 00h03
Je suis d'accord et c'est pourquoi je ne fais pas cette distinction :wink:
DĂj⥠conscient / inconscient....
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