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22/05/2006, 13h12
Bonjour ‡ tous, je franchis le pas comme le font sËšrement les gens qui ont dÈj‡ ÈpuisÈ le voie procÈdurale de la mÈdecine gÈnÈrale voire mÃme rebouteuse, etc.

Mon histoire est somme toute banale ‡ la vue des tÈmoignages dont j'ai pu prendre connaissance ici et l‡ sur le forum (et ailleurs), ce qui justifie ce petit post car moi aussi j'ai finalement besoin d'aide tout du moins une orientation, un petit coup de pouce.

ArmÈ(e)(s) vous de courage et de patience, je commence.

Juin 2002 : je boucle mes examens universitaires (licence) avce mention trËs bien. Je suis s˚r de moi, confiant, un peu comme s'il n'avait jamais plu dans ma vie. Grand soleil. Sauf que cela fait trois fois en un mois que j'ai la grippe avec des fortes fiËvres ‡ 40-41. De plus on est en juin, fait chaud.
Je rentre ‡ l'hÙpital pour examens. 12 jours. Scanners, IRM, sÈrologies, syndromes, maladies tropicales. Enfin un package de professionnels de la blouse blanche pour aucun rÈsultat si ce n'est que j'ai une tension surnaturelle mÃme aprËs echographie trans oesophagiËne (12/3, 12/2). Je suis fatiguÈ, je perds du poids ‡ une vitesse folle (6 kilos en 1 mois) alors que je mange comme quatre. les globules blancs explosent sur les prises de sang mais rien d'objectif. Je sors de l'hÙpital comme j'y suis entrÈ : faible, appeurÈ, incertain.
Je passe l'ÈtÈ, sur un canapÈ ou au lit : je vis 5 heures par jour par pÈriode d'1 heure. Le moindre effort physique me tue et avec le tension ‡ 12/3 vous comprenez mieux les symptÙmes de la mort. Le petit dÈjeuner et la douche matinale me renvoient au lit jusqu'‡ 14 heures et comme Ãa toute la journÈe, tous les jours.
Je cherche des rÈponses pas encore des solutions.

octobre 2002 : une voie s'entre ouvre sous le nom d'ostÈopathe. Ca marche : en 2 mois la tension redevient normale (12/7), la force revient. Je construis un nouveau mur dont je suis le maÃon et l'ingÈnieur. Je tiens le bon bout ?

juillet 2003 : les sÈances d'ostÈo, la muscu me permettent de retrouver un corps qui avait disparu. Des vertiges sont en revanche apparus. Je n'en tiens pas compte, je fais avec. La vie semble me rappelait ‡ elle. Je fonce tel le marin succombant aux chants des sirËnes.

octobre 2003 : rentrÈe universitaire en maÓtrise, j'envoie comme un fou pour montrer que je suis l‡ et qu'il faudra compter sur moi.
Je sors major de promo : mention trËs bien. Les signes extÈrieurs me dÈfinissent et me rassurent, je m'accroche ‡ Ãa. Toujours les vertiges, Ãa dÈstabilise, Ãa ballotte, c'est nausÈeux : tant pis je prends le pied marin quitte ‡ ne plus revoir la terre ferme. On est en juin 2004.

ÈtÈ 2004: nickel je profite. J'attends la rentrÈe universitaire. Toujours les vertiges. Je cherche des explications. Pas de rÈponses. Je fais avec.

octobre 2005 : rentrÈe universitaire. Je sens que je tire sur quelque chose mais je ne vois pas quoi. Je commence ‡ faire attention. A quoi? Je ne sais pas. Je deviens hypocondriaque ? Je ne crois pas. Mais j'ai le sentiment que mes problËmes de santÈ ne sont pas rÈsolus.

avril 2005 : la menace fantÙme passe ‡ exÈcution : les vertiges deviennent insupportables. Direction l'ORL : rÈsultat nÈant mÃme aprËs IRM. C'est le dÈbut de la fin mais Ãa je ne le sais pas encore. Je cherche ‡ droite, ‡ gauche. Rebouteux, magnÈtiseurs, rien n'y fait. Je m'isole. Toutes mes certitudes m'apparaissent alors comme poudre aux yeux. Me serais-je menti ? Me serais-je trompÈ ?
Je m'enferme tout l'ÈtÈ 2005.

octobre 2005 : J'ai peur. Les clefs de sortie des "crises" prÈcÈdentes ne fonctionnent pas, ne fonctionnent plus. Je suis perdu. J'ai ÈcumÈ tout le corps mÈdical mais mon corps est toujours "malade" : vertiges, nausÈe. Je n'ai plus du tout le pied marin. J'ai quittÈ un navire qui voguait tant bien que mal et je sombre seul en pleine mer dÈmontÈe. Je flippe. De tout. De voir mes amis, ma famille. Qu'ils viennent me voir. J'ai peur de moi. De mes rÈactions. J'ai l'impression que le scÈnario de 2002 va se remettre en place. J'extrapole, je dÈlire.
J'ai une cÙte gauche qui passe sous une autre, l'ostÈo y perd son latin et moi mes solutions alternatives aux problËmes physiques. Je suis dans l'Ètau. Je suis dans l'impasse.

DÈcembre 2005 : direction le psy. Je m'y jette ‡ corps perdu comme un naufragÈ se cramponne ‡ sa bouÈ. Ca avance. Je reprends le dessus. Je vois des amis, la famille. je ressens du positif ‡ ma vie. J'arrÃte les listes et les phrases nÈgatives. Je cherche des rÈponses en moi que je trouve. Je corrige le tir.
Mais j'ai toujours peur. Je suis en panique quand je suis seul, que ce soit chez moi ou chez mes parents quand ils ne sont pas l‡. Les dÈplacements sans point de chutes "viables" (alors que ce n'est pas le mot juste en temps normal mais la traduction du symptÙme) ‡ l'arrivÈe (famille) sont impossibles. Le "passage en force" face ‡ ces crises de ce qui pourrait arriver (‡ mon intÈgritÈ physique) ne fonctionne pas mais m'Èpuise ‡ en dormir pendant 20 heures.




Aujourd'hui : Pour les courageux ou courageuses qui sont arrivÈs ‡ ces lignes, merci. Pour le modÈrateur qui n'a pas censurÈ, merci.

La situation est la suivante et, c'est sur elle, que je souhaiterais avoir un avis, le vÙtre. Consciemment, je veux me sortir de la panade, je veux arriver ‡ dÈpasser ces "angoisses", "phobies" mais inconsciemment, Ãa bloque. Je n'arrive pas avec l'aide du psy ‡ avancer sur Ãa. Je crois en fait que mon inconscient a peur de revivre la traversÈe du dÈsert de 2002 et qu'il m'empÃche de me mettre dans des situations qu'il a associÈ comme Ètant potentiellement dangereuses pour moi enfin pour nous, lui et moi ‡ cette Èpoque, mais qui aujourd'hui ne devraient plus Ãtre valables.
Les manifestations les plus exemplaires en sont les dÈplacements. Il m'est impossible de rentrer chez moi seul (‡ 150 km de chez mes parents) et d'y rester seul auquel cas : c'est panique ‡ bord. MÃme accompagnÈ, Ãa se passe mal. Tout se mÈlange au niveau psychosomatique. J'ai chaud et froid, j'ai des fourmis aux extrÈmitÈs des quatre membres, ‡ la langue. Je n'ai plus de salive. J'ai faim alors que je sors de table. Les vertiges reviennent et avec eux la nausÈe. J'ai mal ‡ ma cÙte toujours en travers. mon coeur s'accÈlËre et devient lourd comme ÈcrasÈ par un poids.

Alors est-ce que ce que je tente de dÈcrire parle ‡ quelqu'un ici?

Est-il possible par l'hypnose de corriger les connexions prÈjudiciables de cet inconscient qui croit que l'on est toujours en mode insÈcuritÈ, alerte rouge code 54 ???

Je ne sais si le rÈsumÈ de ces 4 derniËres annÈes avait une importance quelconque quant ‡ la comprÈhension ou l'origine des maux dont je souffre mais comme cela me semblait-Ãtre le cas, j'ai cru bon de le mettre en avant. Si tel n'Ètait pas le cas que les gens que cela auraient choquÈ ou gÃnÈ s'en voient ici clairement ... .

Merci.

greulain
22/05/2006, 13h14
dÈsolÈ mais mon compte c'Ètait dÈconnectÈ. peut-Ãtre Ètait-ce liÈ ‡ la longueur du message

Christophe
22/05/2006, 14h31
Bonjour.

Dans ce genre de cas, le mieux pour un hypnothÈrapeute est de s'en tenir au fondement mÃme de sa pratique : aller discuter directement avec l'inconscient sans essayer de comprendre ni de conscientiser tout Ãa.
Chercher une explication, visiblement les mÈdecins, les psy et les rebouteux n'y sont pas parvenu. Alors la solution me semble Ãtre de faire confiance ‡ l'art qu'est l'hypnose ainsi, surtout, qu'‡ l'inconscient, pour trouver non pas l'explication, mais la solution si celle-ci est accessible par ce moyen prÈcis.

Une question : beau parcours universitaire, bravo. Quel projet derriËre cette rÈussite universitaire ? Vous avez un projet particulier ? Une vision assez prÈcise de ce que vous souhaitez faire dans les prochaines annÈes ?

greulain
22/05/2006, 16h05
bon eh bien, va pour la "mÈthode hypnothique" !

Seulement, quel est le cadre de l'hypnose ? Vers quel domaine vais-je devoir fouiller ?

En effet, l‡ o˘ je "vis" (plus exactement l‡ o˘ je "convalesce"), il n'y a rien que de l'eau, de l'air, de la terre et deux ou trois dÈpartementales.
Les pages jaunes ne sont pas au fait de ce genre de pratiques tout du moins quand on ne sait pas dans quel champs d'application elle professe (psycho, psychiatrie, mÈdecine gÈnÈrale, sciences occultes, etc.)

Sur la recherche d'un hypnothÈrapeute, j'ai donc Ègalement besoin d'un coup de main. Alors je ne doute pas qu'il ne serait pas dÈontologiquement correct de citer des noms mais vu la "phobie" du transport et de l'inconnu, je puis assurer que faire 300 km risque de mettre difficile mÃme si cela devait me sauver.

J'ai cru entrevoir une liste sur internet mais en aucun cas elle ne prÈcisait si l'hypnose Ericksonnienne Ètait au menu.

Enfin, si vous aviez l'arme fatale ‡ dÈbusquer de l'hypnothÈrapeute, sachez que mon pÈrimËtre non phobique d'action et de dÈplacement s'Ètant sur les dÈpartements 65, 64, 32, 40. (N'hÈsitez pas ‡ me faire part de vos praticiens en MP si dÈontologie oblige)

Cela ne reviendrait-il pas ‡ chercher un ostrÈiculteur en Alsace ?


Par ailleurs vous me demandiez quel est l'objectif de ce parcours universitaire ?

Je ne voulais pas forcÈment faire l'Ètalage de mes capacitÈs mais je pensais qu'il permettrait d'Èviter les rÈponses du style peur de l'Èchec scolaire entraÓne phobie du dÈplacement (ne veut plus retourner ‡ l'Ècole) puisque finalement mon principal objectif de dÈplacement reste le retour sur mon campus et non pas aller passer des vacances en Bretagne (bien que je n'ai rien contre la Bretagne tout au contraire, si ce n'est la politique d'amÈnagement du territoire et la concentration de l'Èlevage (porcin) qui ont contribuÈ ‡ mettre en danger de faÃon irrÈversible, les rÈserves d'eau potables des nappes phrÈatiques armoricaines).

Pour rÈpondre ‡ votre quesion, l'objectif reste la thËse. Prof d'universitÈ, voil‡ un travail qui permet de ne pas se contenter du JT de 20H et qui vous laisse du temps. C'est surtout Ãa qui devient prÈcieux, le temps. Le temps de rÈflÈchir, de chercher, de comprendre sans autre prÈtention que de savoir pourquoi, savoir comment, savoir o˘ l'on va et ‡ quel prix. Le temps de voir les autres, d'Èchanger, de partager des moments, des histoires de vie bien plus enrichissantes que de faire des heures sup en tant que cadres dans une multinationale. Enfin, tout dÈpend du sens que l'on donne au mot "richesse".

Christophe
22/05/2006, 20h08
Sur les pages jaunes, une recherche ‡ "hypnose" doit vous proposer deux rubriques : "relaxation" et "soins en dehors du cadre rÈglementÈ". Je vous conseil le second.
Sinon ‡ psychothÈrapeute, mais il faut faire le tri, tous ne font pas d'hypnose.
Il y a aussi une liste de thÈrapeutes certifiÈs ici mÃme (site de l'Arche). Enfin, si vous ne toruvez rien, peut Ãtre certains auront une idÈe plus prÈcise en fonction de votre localisation. Mais je crois qu'on peut trouver des hypnos pas trop loin de chez vous sans trop de soucis.
Pour votre but, je vois que vous avez trouvÈ quelque chose qui vous motive, c'est bien. Cette question juste car parfois en quand on ne sait pas o˘ on va, il est encore plus difficile de s'y rendre dans le confort. Ceci ne semble pas Ãtre votre cas.

christian
23/05/2006, 00h30
Bonsoir Greulain

Consciemment pensez vous, avez vous le sentiment que tous les examens ont ÈtÈ faits, et par des professionnels compÈtents.

Que dËs lors vous vous rangez ‡ leurs avis, s'il y avait un traitement concret ils l'auraient mis en place

La France au niveau mondial a un bon niveau, envisagez vous d'autres examens avec des techniques plus avancÈes?


Face ‡ l'activitÈ de l'inconscient votre point de vue conscient objectif et rationnel dans votre cas est important

Amicalement Christian

greulain
23/05/2006, 11h32
Pour vous rÈpondre Christian, oui j'ai acquis la certitude d'avoir fait tous les examens et ainsi ai ÈcartÈ toutes les pistes qui auraient pu expliquer la situation actuelle.

Je ne vois concrËtement pas d'examens, fruit de techniques plus avancÈes. Si vous avez une rÈalitÈ ‡ m'exposer, je suis preneur.

Si mon point de vue rationnel de tentative d'objectivation de ma situation m'apporte certaines rÈponses, il est en revanche inefficace ‡ me faire recouvrir la paix intÈrieure.

Antoine
23/05/2006, 12h04
Si mon point de vue rationnel de tentative d'objectivation de ma situation m'apporte certaines rÈponses, il est en revanche inefficace ‡ me faire recouvrir la paix intÈrieure.


Ca c'est certain. Si au lieu de penser que l'historique de vos dÈfaillances et la rÈflexion sur les relations causales entre le passÈ et le prÈsent sont des ÈlÈments intÈressants, vous les nÈgligiez un temps soit peu au profit d'une vÈritable construction de ce que vous vouler ‡ chaque instant, et au profit d'un passage ‡ l'action, alors j'imagine que vous vous permettriez facilement de recouvrer (et surtout pas "recouvrir", justement :wink: ) votre paix intÈrieure , et mÃme peut-Ãtre beaucoup plus. :D

christian
23/05/2006, 14h46
Bonjour Greulain

Bien le premier prÈalable dans ma pratique est de toujours, toujours, vÈrifier quel degrÈ d'autonomie possÈde le conscient, est il encore assez libre pour avoir un point de vue ferme et rationnel? face ‡ l'activitÈ de l'inconscient.

Ce qui est trËs positif avec vous est votre rÈponse vous possÈdez un point de vue conscient objectif, rationnel.

Maintenant travaillez avec votre inconscient devrait Ãtre plus rapide, dans le sens ou je n'ai pas ‡ m'occuper ‡ restructurer votre conscient, premier prÈalable ‡ toute intervention.

Dans votre cas l'inconscient Darwinien est prÈsent au niveau de la fabuleuse Ènergie de l'instinct de survie, l'inconscient collectif prend le relai, aucune implication de l'inconscient personnel

Au moins dans votre cas on sait o˘ l'on va, le travail avec les complexes ‡ l'origine de vos symptÙmes devrait Ãtre facilitÈ car votre point de vue conscient va Ãtre un alliÈ


J'espÈre que vous allez trouver un Eriksonien compÈtent et surtout expÈrimentÈ, cela devrait prendre plusieurs sÈances, mais l'inconscient va trËs vite abandonnÈ son point de vue.

Amicalement Christian :wink:

greulain
25/05/2006, 15h15
salut ‡ tous et en particulier ‡ Christian,

ce que je puis dire est que j'ai rendez-vous demain (sans faire de pub il est domiciliÈ ‡ Agen).

DeuxiËmement, ce que je constate, impuissant, c'est que le conscient est en train de structurer sa mÈthode de rationalisation de l'action autour de la marge de libertÈ que lui laisse l'inconscient. En fait, je ne suis plus le seul maÓtre ‡ bord donc avec le temps je commence ‡ fonctionner de maniËre consciente avec l'handicapant inconscient qui se croit en danger permanent.
Je ne tente plus de dÈpasser l'insÈcuritÈ inconsciente dont je souffre mais je fais avec pour l'instant au lieu de lutter contre. Ce que je gagne, c'est un certain confort : rÈduction des troubles psychosomatiques. Mais en revanche ce que je ne re-gagne pas, c'est ma vie "normale", c'est-‡-dire ma vie sans barriËre de lieu, d'espace et de temps.*
DÈfinitivement, si je devais dÈcrire la succession d'attitudes et de postures intellectuelles qui m'ont animÈ, je dirais que dans un premier temps le moteur du bateau a l‚chÈ. J'ai tentÈ de rÈparer mas je m'y suis mal pris et est compliquÈ les choses. Le moteur a finalement rendu l'‚me. J'ai donc commencÈ ‡ ramer. Puis plus du tout. Mais j'ai repris un bon matin. Puis j'ai trouvÈ un peu de rÈseau avec mon portable, j'ai appelÈ un numÈro au hasard, est exposÈ la situation et depuis j'attends en me disant que je n'ai pas fait un mauvais numÈro et que les ecours vont arriver

Enfin, on va voir Ãa demain avec le condisciple Ericksonnien qu'il me tarde de rencontrer.

@ + et merci de me lire.

christian
25/05/2006, 15h40
Bonjour Gueurlain

Tenez nous informÈ, le premier prÈalable qui est une rÈgle absolue face ‡ l'inconscient est l'interdiction catÈgorique de voir face ‡ son activitÈ naturelle une quelconque faiblesse du conscient

Votre bateau ne coule pas il a un simple problËme de moteur, maintenant il repose sur la mer, vous allez ‡ nouveau pouvoir consciemment vous dirigez sur cette mer bientÙt.
Mais aucun marin n'a osÈ pensÈ qu'il dÈcidait de l'Ètat de la mer par contre les bons marins s'adaptent ‡ la mer.

Amicalement Christian :wink:

walter
25/05/2006, 16h23
Bonjour gueurlain,
votre moteur est en panne c'est votre image, la mer de solitude vous encercle? Enlevez vos protections car peut etre, au contraire le moteur s'est emballÈ et la pollution du surrÈgime asphyxie votre pensÈe. voyez si vous pouver enlever votre chemise, accrochez la au mat, le temps,le vent et les courants amËneront une surprise. vÈrifiez quand mÃme, que les amares soit lachÈes. L'hypnose vous permettra surement de quitter des yeux votre feuille de route. rÃvez enfin des cocotiers ! mais vous avez raison ,'il ne faut jamais essayer de redresser leurs ombres, mÃme pour Èviter les coups de soleil. Cordialement. Walter.