Voir la version complčte : " PROBLEME"
La plupart d'entre nous , quel que soit le contexte ( thĂrapeutique ou non) avons eu ou entendus dire de la part d'une tierce personne, j'ai un "PROBLEME".
Selon vous, que signifie le mot "PROBLEME"? qu'est-ce qu'un "PROBLEME" ? votre avis m'intĂresse.
Pour ma part, voici une "premiĂre vision " du " PROBLEME" que je dĂvelopperai dans quelques jours.
Il m'a fallu de nombreuses annĂes pour m'autoriser ⥠croire aujourd'hui qu'un "PROBLEME" en soi ... n'existe pas!
Le ballon et lancĂ.
Un problĂme ? c'est un exercice permettant de trouver une solution !
j'en suis restà ⥠la vision du "problĂme de mathĂmatique", elle peut sembler smpliste mais elle donne un Ătat d'esprit qui me semble interessant.
Le balln rebondi :P
Nicolas
Cher Pretet,
Connaissez-vous la technique de suggestion indirecte trĂs chĂre ⥠Erickson, que l'on appelle le saupoudrage ?
Votre message contient un grand nombre de fois la suggestion de problĂme et en majuscules qui plus est. Est-ce ⥠dessein ?
Philosophiquement parlant, le problĂme est une situation qui pose question, et appelle une solution, une rĂsolution, tout comme l'"Ănigme". Ce sont des modes particuliers de l'"Ăpreuve". En tant que tels, ils sont le meilleur rempart contre la stagnation et la routine.
La performance d'un athlĂte perchiste n'a d'intĂrĂt que parce qu'il y a une barre ⥠franchir, et que celle-ci n'est pas trop basse pour Ătre trop facilement franchie. Ce qui pour les autres serait un obstacle difficile, est pour l'athlĂte un problĂme stimulant. Et la satisfaction qu'il tire du franchissement de la barre est inversement proportionnelle ⥠la certitude de pouvoir la franchir avec facilitĂ. C'est la difficultĂ qui augmente la progression.
Le problĂme est souvent pris dans le sens d'une pathologie, ou d'une aporie, alors que son sens peut-Ătre acceptĂ de faĂon on ne peut plus positive.
On peut mĂme avancer que problĂmatiser sa vie en termes d'objectifs, de projets, d'Ăpreuves, etc... est un excellent moyen d'avancer. Ainsi, chaque objectif peut lui aussi faire l'objet d'une problĂmatisation cohĂrente, rĂaliste et ambitieuse. C'est ce que font les bons coachs, les conseillers, les thĂrapeutes orientĂs vers la solution dans certains cas, etc ...
Les philosophes Ăgalement, prennent un sujet et le problĂmatise. Ils le formule de telle sorte qu'on doive en dĂpasser un ou plusieurs aspects pour mieux le comprendre, le rĂformer, l'ajuster, etc... et pourquoi pas aboutir ⥠une valeur de connaissance ajoutĂe, ou ⥠un application pratique.
Les scientifiques Ăgalement problĂmatisent leurs buts. Parfois, ils prennent les mĂme questions que les philosophes, mais posent le problĂme difĂrremment pour amener une rĂponse diffĂrente.
Tout chercheur Ătablit un problĂme.
Pourquoi pas affirmer : pas de progrĂs sans problĂmes.
Certains tĂmoignent du fait que, quand Milton Erickson Ătait face ⥠un problĂme, une difficultĂ, ou un Ăchec, ses yeux s'illuminaient d'une joie sincĂre... il se rĂjouissait devant une nouvelle occasion d'apprendre et de progresser.
ConsidĂrer chaque problĂme comme un dĂfi passionnant, comme une nouvelle aventure personnelle, dans la sĂrendipitĂ de laquelle de grandes choses peuvent nous arriver, est un excelent moyen de franchir les obstacles de plus en plus facilement.
Un problĂme ? c'est un exercice permettant de trouver une solution !
j'en suis restà ⥠la vision du "problĂme de mathĂmatique", elle peut sembler smpliste mais elle donne un Ătat d'esprit qui me semble interessant.
Le balln rebondi :P
Nicolas
Salut nicolas,
Je tiens ⥠te dire que j'apprĂcie ta contribution et d'avoir acceptĂ de prendre un peu de ton temps pour jouer avec moi au ballon...
youpi j'ai trouvĂ un copain de mon age! ( enfin un peu plus jeune je pense).
Malheureusement, je ne peux pas faire grand chose pour toi et ton problĂme de mathĂmatique (s) j'suis nul en math je me suis toujours ĂfforcĂ de penser que 1+1 n'est pas Ăgal = 2 , alors tu peux imaginer la "tronche" des profs.
Aussi , aujourd'hui je sais que 1+1=3 oui oui l'ami.....
bien ⥠toi sur ce chemin de surpassement (de toi) Chaleureusement.
Cher Pretet,
Connaissez-vous la technique de suggestion indirecte trĂs chĂre ⥠Erickson, que l'on appelle le saupoudrage ?
Votre message contient un grand nombre de fois la suggestion de problĂme et en majuscules qui plus est. Est-ce ⥠dessein ?
Philosophiquement parlant, le problĂme est une situation qui pose question, et appelle une solution, une rĂsolution, tout comme l'"Ănigme". Ce sont des modes particuliers de l'"Ăpreuve". En tant que tels, ils sont le meilleur rempart contre la stagnation et la routine.
La performance d'un athlĂte perchiste n'a d'intĂrĂt que parce qu'il y a une barre ⥠franchir, et que celle-ci n'est pas trop basse pour Ătre trop facilement franchie. Ce qui pour les autres serait un obstacle difficile, est pour l'athlĂte un problĂme stimulant. Et la satisfaction qu'il tire du franchissement de la barre est inversement proportionnelle ⥠la certitude de pouvoir la franchir avec facilitĂ. C'est la difficultĂ qui augmente la progression.
Le problĂme est souvent pris dans le sens d'une pathologie, ou d'une aporie, alors que son sens peut-Ătre acceptĂ de faĂon on ne peut plus positive.
On peut mĂme avancer que problĂmatiser sa vie en termes d'objectifs, de projets, d'Ăpreuves, etc... est un excellent moyen d'avancer. Ainsi, chaque objectif peut lui aussi faire l'objet d'une problĂmatisation cohĂrente, rĂaliste et ambitieuse. C'est ce que font les bons coachs, les conseillers, les thĂrapeutes orientĂs vers la solution dans certains cas, etc ...
Les philosophes Ăgalement, prennent un sujet et le problĂmatise. Ils le formule de telle sorte qu'on doive en dĂpasser un ou plusieurs aspects pour mieux le comprendre, le rĂformer, l'ajuster, etc... et pourquoi pas aboutir ⥠une valeur de connaissance ajoutĂe, ou ⥠un application pratique.
Les scientifiques Ăgalement problĂmatisent leurs buts. Parfois, ils prennent les mĂme questions que les philosophes, mais posent le problĂme difĂrremment pour amener une rĂponse diffĂrente.
Tout chercheur Ătablit un problĂme.
Pourquoi pas affirmer : pas de progrĂs sans problĂmes.
Certains tĂmoignent du fait que, quand Milton Erickson Ătait face ⥠un problĂme, une difficultĂ, ou un Ăchec, ses yeux s'illuminaient d'une joie sincĂre... il se rĂjouissait devant une nouvelle occasion d'apprendre et de progresser.
ConsidĂrer chaque problĂme comme un dĂfi passionnant, comme une nouvelle aventure personnelle, dans la sĂrendipitĂ de laquelle de grandes choses peuvent nous arriver, est un excelent moyen de franchir les obstacles de plus en plus facilement.
Cher pretet... allons-y cher ANTOINE, oui mais bien sur...je me souviens maintenant nous Ătions ⥠l'Ăcole ensemble pendant notre pĂriode 'crĂtacĂe" bon parfois mon inconscient me joue des tours je me mĂfie de moi-mĂme...et toi?
Tu me demandes si je connais le "soupoudrage".... oui bien sur ,lorsque je soupoudre les fraises du jardin avec du sucre cassonnade ou alors les gateaux avec du sucre glace, comme tout a chacun, chaque jour de notre VIE tu parles bien de Ăa ou alors tu fais rĂfĂrence au "seeding" technique importante de HE.
Tu sais mon AMI, entre NOUS, rien qu'entre NOUS, je vais te faire une confidence parce que tu as bien voulu toi aussi jouer au ballon avec moi dans la cour des petits mais un jour nous serons grands peut-Ătre...cela fait bien longtemps, une douzaine d'annĂes maintenant ,j'ai oubliĂ, dĂpasser le niveau de la technique et devenu moi-mĂme l'outil thĂrapeutique l⥠est le niveau de compĂtence inconsciente, l'ĂlĂgance et la flexibilitĂ , il me semble aujourd'hui qu'il n'existe aucune technique prĂvisible qui s'adapte ⥠un cas donnĂ par avance, simpliste , oui peut-Ătre , mais pour moi j'en dĂgage un avantage certain: voil⥠qui rĂgle d'un coup mes problĂmes de choix techniques! Et en dĂpassant le niveau simple de la technique c'est une "philosophie active de VIE" que nous construisons. J'ai ĂnormĂment appris aux cĂtĂs de Gianni FORTUNO et son concept de double inconscient, ainsi que AnnĂ LINDEN dans un autre style plus "carrĂ".
en fait l'AMI le problĂme du thĂrapeute quel que soit sa formation originelle Ăa n'est pas le patient ou le client..c'est le thĂrapeute.
" Ce qui est passĂ a fui; ce que tu espĂres est absent; mais le prĂsent est ⥠toi" chaleureusement l'AMI
Bonjour,
Je ne suis pas spĂcialiste, mais je trouve vraiment qu'une certaine arrogance se dĂgage de vos propos PRETET, vous qui dans votre signature parlez de simplicitĂ, ne voulez vous pas relire vos messages ?
Pourquoi vouloir prouver votre supĂrioritĂ, cela rend mĂme passages interessants de vos messages trĂs prĂtencieux.
Antoine prend le temps de vous rĂpondre, d'argumenter, et vous allez jusqu'⥠en oublier le contenu pour rester sur l'apparence.
on dirait que vous cherchez le conflits, dommage, car je ne crois pas que ca soit l'Ătat d'esprit des personnes qui viennent ici.
Luc
Pretet, je suis dĂsolĂ, mais je n'ai absolument rien compris ⥠votre rĂponse. Fautes de connaissance et de rĂfĂrences surement.
J'ai trouvĂ intĂressante l'idĂe de lancer une discussion sur ce thĂme, alors naĂvement et simplement, j'ai rĂpondu ⥠ma faĂon, avec la vision qui est la mienne de cette question, mon propre style et mon Ătroite culture. Si vous y trouvez ⥠redire, alors je suis ouvert ⥠la critique, ⥠condition que je sois en mesure de la comprendre.
Cordialement
Il me semble que le moment est venu pour m'exprimer sur la notion de "problĂme" et remercie encore une fois nicolas et antoine pour leur avis.
En effet selon le Petit Robert, c'est " une difficultĂ qu'il faut rĂsoudre pour obtenir un certain rĂsultat."
Mais au fond, un problĂme en lui-mĂme, est-ce une chose concrĂte? Quelque chose que l'on peut "rencontrer" comme le dit l'expression "rencontrer un problĂme" ? Je suis d'avis pour dire et croire que NON , un problĂme,cela n'existe pas en soi.
En effet, c'est plutĂt notre interprĂtation subjective des faits qui crĂe le problĂme. " j'ai un problĂme" devrait se dire plut^^ot "problĂmatisĂ une situation"
Donc " DE-PROBLEMATISER"
Traiter un problĂme, c'est en premier lieu, accepter de le confronter, un problĂme, c'est souvent une histoire que l'on se raconte, car oui, au del⥠des faits, nous interprĂtons la rĂalitĂ, nous la teintons de notre subjectivitĂ
Parfois, le seul fait de dĂcouper le problĂme suffit ⥠le faire disparaitre. Sinon, s'orienter solution est la maniĂre la plus simple d'en finir avec une situation problĂmatisĂe.Car il est si facile de rester fascinĂ (e) par un problĂme, de perdre bcp d'Ănergie et de temps ⥠l'analyser, l'explorer sans fin, ⥠chercher les causes et les coupables ( pour ce dernier point, ne cherchez plus: ce sont les autres , bien-sËr;-) Prendre la dĂcision de s'orienter solution est nettement plus efficace. Car si nous savons crĂer des problĂmes, nous savons aussi crĂer des solutions.
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