PRETET
20/03/2007, 13h03
L‚cher prise, c'est comme regarder un coucher de soleil en ressentant simplement ce que cela Èveil en nous.
Se placer en observateur sans commentaires intÈrieures ni analyses.
Se laisser totalement envahir par l'image qui vient ‡ nous.
Accueillir l'Èmotion ou la sensation sans faire intervenir le mental.
Laisser cela Ãtre et l'accueillir en silence.
Ressentir sans nourrir de pensÈes.
Laisser les pensÈes s'envoler d'elles mÃmes sans essayer de les chasser.
L‚cher prise, c'est comme ce merveilleux instant lorsqu'on arrive dans la chambre d'hÙtel
pour les vacances et que l'on pose enfin les valises.
On goËšte simplement la joie de l'instant
et on est totalement disponible ‡ la nouveautÈ et ‡ la dÈcouverte.
Alors posons ‡ chaque instant nos valises
que l'on porte depuis si longtemps et apprÈcions cet instant.
Si on a des choses ‡ rÈgler, prenons un moment pour rÈflÈchir
‡ la meilleure faÃon d'agir et passons ‡ l'action lorsque le moment est venu.
La vie se charge de nous mettre en situation lorsque
le moment opportun d'agir se prÈsente.
En dehors du moment de la rÈflexion et de l'action laissons cela de cÙtÈ et n'y pensons plus.
Sinon, on ne fait qu'entretenir et nourrir une activitÈ mentale
qui nous Èloigne du moment prÈsent et cela peut crÈer en nous
un climat d'anxiÈtÈ, de nervositÈ ou d'impatience.
L‚cher prise c'est permettre ‡ tout ce qui est prÈsent ‡ l'instant, d'Ãtre l‡,
sans rÈsistance aucune.
C'est accepter la rÈalitÈ de l'instant prÈsent en Ètat intÈrieur de non-rÈsistance.
C'est aller avec le mouvement de la vie,
comme dans certains arts martiaux o˘ l'on utilise la force de l'autre
pour ne pas se laisser dÈstabiliser.
Cela n'empÃche en aucun cas d'entreprendre une action lorsque cela s'avËre nÈcessaire.
Simplement cette action ne sera pas menÈe en rÈaction ‡ quelque chose
ou ‡ quelqu'un et sera dÈnuÈe de toute nÈgativitÈ.
A travers le l‚cher prise, la paix intÈrieure Èmerge du plus profond de nous mÃme,
rayonne ‡ travers nous et c'est tout notre environnement qui entre en rÈsonance avec cette paix.
L‚cher prise face ‡ la "souffrance"
Tout ce que fait l'Ãtre humain est fait dans le but d'Ãtre heureux.
Directement ou indirectement.
MÃme si votre travail ne vous plaÓt pas,
vous le faites dans le but de gagner de l'argent et ainsi pouvoir entre autre
vous payer des choses qui vous font plaisir.
L'humain recherche par tous les moyens le bonheur
et tente par tous les moyens d'Èchapper ‡ la souffrance.
C'est bien normal, qui aime souffrir ?
A part ceux qui y trouvent du plaisir
et dans ce cas ils ressentent le bonheur dans cette souffrance.
C'est pour cette raison que c'est trËs difficile d'accepter la souffrance.
MÃme si vous cherchez ‡ la fuire ou ‡ l'Ètouffer, vous n'y arrivez pas,
elle est toujours prÈsente mÃme si vous la masquez.
Si vous souhaitez la dÈpasser, il vous faut y faire face en acceptant de la ressentir.
Ressentez l‡ et observez ce que vous ressentez sans analyser,
sans vous laisser entraÓner par le mental
vers les circonstances qui ont dÈclenchÈ cette souffrance.
Si des pensÈes viennent, laissez-les Ãtre l‡ sans les nourrir,
sans vous attacher ‡ elles et reportez votre attention sur le corps.
Restez prÈsent ‡ tout ce que vous ressentez.
Le fait d'observer, va vous permettre d'Ãtre dÈtachÈ.
Lorsqu'on est observateur, il se crÈe automatiquement une distance
entre l'observateur et le sujet observÈ ( la souffrance ).
On n'est plus ‡ ce moment l‡ identifiÈ ‡ cette souffrance
et on perÃoit cela comme une crÈation que l'on crÈe soi-mÃme ‡ chaque instant
et que l'on maintient en vie par l'Ènergie qu'on lui insuffle au moyen de la pensÈe.
Autorisez-vous maintenant ‡ l‚cher prise, ne la nourrissez plus de vos pensÈes,
ne lui insuffler plus d'Ènergie, laissez cela se dissoudre
en Ètant simplement une prÈsence tÈmoin.
L'obscuritÈ ne rÈsiste pas longtemps ‡ la lumiËre de la prÈsence.
Ce qu'il convient Ègalement d'accepter lorsque l'on souffre
c'est la rÈalitÈ de l'instant prÈsent.
Pourquoi est-ce que l'on souffre la plupart du temps ?
Parce que la rÈalitÈ de ce que l'on vit a changÈ
et qu'on a du mal ‡ accepter cette rÈalitÈ, on s'accroche au passÈ et aux souvenirs.
Ou alors notre rÈalitÈ ne change pas et
on voudrait tellement que cela change en se projetant dans le futur.
Accepter la rÈalitÈ, c'est accepter les changements
qui se sont produits ou pas dans notre vie et ensuite regarder
si l'on peut amÈliorer la situation.
L‚cher prise c'est accepter la rÈalitÈ de l'instant prÈsent
afin d'Ãtre et d'agir sans le poids du passÈ et du futur.
A ce moment l‡, la vie coule librement ‡ travers nous
pour permettre d'exprimer au mieux notre vÈritable nature.
Accepter est le premier pas vers le l‚cher prise.
Acceptez de ne pas Ãtre en paix et vous serez en paix.
"Alors qu'on nous a fait croire que, si nous l‚chions prise, nous nous retrouverions sans rien,
la vie vous rÈvËle, toujours ‡ nouveau, qu'au contraire le l‚cher prise est la seule voie vers la vraie libertÈ." :D
Se placer en observateur sans commentaires intÈrieures ni analyses.
Se laisser totalement envahir par l'image qui vient ‡ nous.
Accueillir l'Èmotion ou la sensation sans faire intervenir le mental.
Laisser cela Ãtre et l'accueillir en silence.
Ressentir sans nourrir de pensÈes.
Laisser les pensÈes s'envoler d'elles mÃmes sans essayer de les chasser.
L‚cher prise, c'est comme ce merveilleux instant lorsqu'on arrive dans la chambre d'hÙtel
pour les vacances et que l'on pose enfin les valises.
On goËšte simplement la joie de l'instant
et on est totalement disponible ‡ la nouveautÈ et ‡ la dÈcouverte.
Alors posons ‡ chaque instant nos valises
que l'on porte depuis si longtemps et apprÈcions cet instant.
Si on a des choses ‡ rÈgler, prenons un moment pour rÈflÈchir
‡ la meilleure faÃon d'agir et passons ‡ l'action lorsque le moment est venu.
La vie se charge de nous mettre en situation lorsque
le moment opportun d'agir se prÈsente.
En dehors du moment de la rÈflexion et de l'action laissons cela de cÙtÈ et n'y pensons plus.
Sinon, on ne fait qu'entretenir et nourrir une activitÈ mentale
qui nous Èloigne du moment prÈsent et cela peut crÈer en nous
un climat d'anxiÈtÈ, de nervositÈ ou d'impatience.
L‚cher prise c'est permettre ‡ tout ce qui est prÈsent ‡ l'instant, d'Ãtre l‡,
sans rÈsistance aucune.
C'est accepter la rÈalitÈ de l'instant prÈsent en Ètat intÈrieur de non-rÈsistance.
C'est aller avec le mouvement de la vie,
comme dans certains arts martiaux o˘ l'on utilise la force de l'autre
pour ne pas se laisser dÈstabiliser.
Cela n'empÃche en aucun cas d'entreprendre une action lorsque cela s'avËre nÈcessaire.
Simplement cette action ne sera pas menÈe en rÈaction ‡ quelque chose
ou ‡ quelqu'un et sera dÈnuÈe de toute nÈgativitÈ.
A travers le l‚cher prise, la paix intÈrieure Èmerge du plus profond de nous mÃme,
rayonne ‡ travers nous et c'est tout notre environnement qui entre en rÈsonance avec cette paix.
L‚cher prise face ‡ la "souffrance"
Tout ce que fait l'Ãtre humain est fait dans le but d'Ãtre heureux.
Directement ou indirectement.
MÃme si votre travail ne vous plaÓt pas,
vous le faites dans le but de gagner de l'argent et ainsi pouvoir entre autre
vous payer des choses qui vous font plaisir.
L'humain recherche par tous les moyens le bonheur
et tente par tous les moyens d'Èchapper ‡ la souffrance.
C'est bien normal, qui aime souffrir ?
A part ceux qui y trouvent du plaisir
et dans ce cas ils ressentent le bonheur dans cette souffrance.
C'est pour cette raison que c'est trËs difficile d'accepter la souffrance.
MÃme si vous cherchez ‡ la fuire ou ‡ l'Ètouffer, vous n'y arrivez pas,
elle est toujours prÈsente mÃme si vous la masquez.
Si vous souhaitez la dÈpasser, il vous faut y faire face en acceptant de la ressentir.
Ressentez l‡ et observez ce que vous ressentez sans analyser,
sans vous laisser entraÓner par le mental
vers les circonstances qui ont dÈclenchÈ cette souffrance.
Si des pensÈes viennent, laissez-les Ãtre l‡ sans les nourrir,
sans vous attacher ‡ elles et reportez votre attention sur le corps.
Restez prÈsent ‡ tout ce que vous ressentez.
Le fait d'observer, va vous permettre d'Ãtre dÈtachÈ.
Lorsqu'on est observateur, il se crÈe automatiquement une distance
entre l'observateur et le sujet observÈ ( la souffrance ).
On n'est plus ‡ ce moment l‡ identifiÈ ‡ cette souffrance
et on perÃoit cela comme une crÈation que l'on crÈe soi-mÃme ‡ chaque instant
et que l'on maintient en vie par l'Ènergie qu'on lui insuffle au moyen de la pensÈe.
Autorisez-vous maintenant ‡ l‚cher prise, ne la nourrissez plus de vos pensÈes,
ne lui insuffler plus d'Ènergie, laissez cela se dissoudre
en Ètant simplement une prÈsence tÈmoin.
L'obscuritÈ ne rÈsiste pas longtemps ‡ la lumiËre de la prÈsence.
Ce qu'il convient Ègalement d'accepter lorsque l'on souffre
c'est la rÈalitÈ de l'instant prÈsent.
Pourquoi est-ce que l'on souffre la plupart du temps ?
Parce que la rÈalitÈ de ce que l'on vit a changÈ
et qu'on a du mal ‡ accepter cette rÈalitÈ, on s'accroche au passÈ et aux souvenirs.
Ou alors notre rÈalitÈ ne change pas et
on voudrait tellement que cela change en se projetant dans le futur.
Accepter la rÈalitÈ, c'est accepter les changements
qui se sont produits ou pas dans notre vie et ensuite regarder
si l'on peut amÈliorer la situation.
L‚cher prise c'est accepter la rÈalitÈ de l'instant prÈsent
afin d'Ãtre et d'agir sans le poids du passÈ et du futur.
A ce moment l‡, la vie coule librement ‡ travers nous
pour permettre d'exprimer au mieux notre vÈritable nature.
Accepter est le premier pas vers le l‚cher prise.
Acceptez de ne pas Ãtre en paix et vous serez en paix.
"Alors qu'on nous a fait croire que, si nous l‚chions prise, nous nous retrouverions sans rien,
la vie vous rÈvËle, toujours ‡ nouveau, qu'au contraire le l‚cher prise est la seule voie vers la vraie libertÈ." :D