PRETET
24/05/2007, 10h39
Fichtre.... j'entends la panique ⥠bord ,
Revenant de congĂs , apaisĂ , serein , je prends connaissance du mĂcontement gĂnĂral ⥠mon Ăgard.
Je vous avoue humblement que je me sens particuliĂrement agrĂssĂ, par ces diffĂrentes allĂgations interprĂtatives , voire projectives, je vous le livre avec beaucoup d'Ămotions. Peut-Ătre le reflet de l'ambiance dans laquelle nous vivons au quotidien dans ce merveilleux monde de brute?
J'hĂsite ⥠conclure, je m'intĂrroge, je rĂflĂchis, du feedback de l'apprentissage... je me sens finalement grandit.
Je suis sincĂrement dĂsolĂ d'avoir provoquĂ une telle tempĂte avec ses grandes marĂes.
Sachez bien les uns et les autres, qu'a travers certains posts , je n'ai jamais voulu m'appropriĂ telle ou telle chose et encore moins le contenu de certains articles pertinents ⥠mes yeux, mais, plutĂt comme un choix supplĂmentaire une sorte de base de rĂfĂrence ⥠laquelle j'adhĂre totalement. Pour moi, le seul objectif c'est l'intĂrĂt de l'interlocuteur, dans ma pratique je m'autorise d'envisager toutes les possibilitĂs de mobiliser l'interlocuteur vers une perspective d'un changement ⥠travers diffĂrentes vision des ĂvĂnements.
Sachez enfin, que j'ai passĂ d'excellents moment sur ce forum en votre compagnie malgrĂ ces ĂvĂnements tumulteux, je suis route pour de nouvelles aventures ainsi est la VIE , ici se termine mon explication.
Permettez-moi, de vous souhaiter tout le "POSITIF" que la VIE peut vous offrir et que votre Conscience renforcĂe pourra capter et intĂgrer.
En guise d'Ăpilogue je vous livre une petite histoire, j'aime bien les petites histoires et vous...?
" Il Ătait une fois, ( souvent les histoires commencent par il Ătait une fois..) un homme tout a fait conventionnel, bien sur lui, cĂrĂbrĂ, sympathique, un peu nĂvrosĂ comme tous le monde quoi...rien de mĂchant au volant de sa voiture sur un route en rase campagne au milieu de nul part, et, tout a coup pchiiiii un pneu de sa voiture Ăclate.
Il s'arrĂte, regarde le pneu crevĂ avec Ămotion, en pestant il se dirige vers le coffre l'ouvre cherche un cric...en vain. Pas de cric.
Comme il est sur une petite route en rase campagne, en plein mois juillet il se dit que personne ne va passer par l⥠pour lui venir en aide.
Il dĂcide de se rendre au village le plus proche, dont il voit le haut du clocher, pour demander un cric.
Le chemin est long, il fait chaud, il est dans sa bulle, seul avec lui-mĂme et il se dit: " est-ce qu'il vont seulement avoir un cric ⥠me prĂter? (Non pas pretet...sourire) il avance encore, le chemin est encore long,et, tout en transpirant, se dit : "je les connais les gens du coin, ils n'aiment pas les Ătrangers!" il marche encore et se dit: "ils ne me connaissent pas, vont-ils seulement vouloir me le prĂter, ce foutu cric?"
Et il continue ainsi, s'imaginant les scĂnarios les plus dĂsagrĂables, Ătant pris ⥠parti par les villageois qui trouvent louche qu'il veuille emprunter un cric, proposant de l'acheter, personne ne voulant lui en vendre un etc.etc...
Il s'approche du village, de plus en plus ĂnervĂ, angoissĂ, anxieux INTERIEUREMENT, et lâĄ, se met sur la place du village, et hurle: " Et bien, puisque c'est comme Ăa, votre cric,vous pouvez vous le garder!!!" :wink:
Excellente continuation ⥠vous tous.... :D
Revenant de congĂs , apaisĂ , serein , je prends connaissance du mĂcontement gĂnĂral ⥠mon Ăgard.
Je vous avoue humblement que je me sens particuliĂrement agrĂssĂ, par ces diffĂrentes allĂgations interprĂtatives , voire projectives, je vous le livre avec beaucoup d'Ămotions. Peut-Ătre le reflet de l'ambiance dans laquelle nous vivons au quotidien dans ce merveilleux monde de brute?
J'hĂsite ⥠conclure, je m'intĂrroge, je rĂflĂchis, du feedback de l'apprentissage... je me sens finalement grandit.
Je suis sincĂrement dĂsolĂ d'avoir provoquĂ une telle tempĂte avec ses grandes marĂes.
Sachez bien les uns et les autres, qu'a travers certains posts , je n'ai jamais voulu m'appropriĂ telle ou telle chose et encore moins le contenu de certains articles pertinents ⥠mes yeux, mais, plutĂt comme un choix supplĂmentaire une sorte de base de rĂfĂrence ⥠laquelle j'adhĂre totalement. Pour moi, le seul objectif c'est l'intĂrĂt de l'interlocuteur, dans ma pratique je m'autorise d'envisager toutes les possibilitĂs de mobiliser l'interlocuteur vers une perspective d'un changement ⥠travers diffĂrentes vision des ĂvĂnements.
Sachez enfin, que j'ai passĂ d'excellents moment sur ce forum en votre compagnie malgrĂ ces ĂvĂnements tumulteux, je suis route pour de nouvelles aventures ainsi est la VIE , ici se termine mon explication.
Permettez-moi, de vous souhaiter tout le "POSITIF" que la VIE peut vous offrir et que votre Conscience renforcĂe pourra capter et intĂgrer.
En guise d'Ăpilogue je vous livre une petite histoire, j'aime bien les petites histoires et vous...?
" Il Ătait une fois, ( souvent les histoires commencent par il Ătait une fois..) un homme tout a fait conventionnel, bien sur lui, cĂrĂbrĂ, sympathique, un peu nĂvrosĂ comme tous le monde quoi...rien de mĂchant au volant de sa voiture sur un route en rase campagne au milieu de nul part, et, tout a coup pchiiiii un pneu de sa voiture Ăclate.
Il s'arrĂte, regarde le pneu crevĂ avec Ămotion, en pestant il se dirige vers le coffre l'ouvre cherche un cric...en vain. Pas de cric.
Comme il est sur une petite route en rase campagne, en plein mois juillet il se dit que personne ne va passer par l⥠pour lui venir en aide.
Il dĂcide de se rendre au village le plus proche, dont il voit le haut du clocher, pour demander un cric.
Le chemin est long, il fait chaud, il est dans sa bulle, seul avec lui-mĂme et il se dit: " est-ce qu'il vont seulement avoir un cric ⥠me prĂter? (Non pas pretet...sourire) il avance encore, le chemin est encore long,et, tout en transpirant, se dit : "je les connais les gens du coin, ils n'aiment pas les Ătrangers!" il marche encore et se dit: "ils ne me connaissent pas, vont-ils seulement vouloir me le prĂter, ce foutu cric?"
Et il continue ainsi, s'imaginant les scĂnarios les plus dĂsagrĂables, Ătant pris ⥠parti par les villageois qui trouvent louche qu'il veuille emprunter un cric, proposant de l'acheter, personne ne voulant lui en vendre un etc.etc...
Il s'approche du village, de plus en plus ĂnervĂ, angoissĂ, anxieux INTERIEUREMENT, et lâĄ, se met sur la place du village, et hurle: " Et bien, puisque c'est comme Ăa, votre cric,vous pouvez vous le garder!!!" :wink:
Excellente continuation ⥠vous tous.... :D