Nathalie Roudil-Paolucci
01/07/2007, 12h31
La dÈpression nÃ*est pas internationale alors que la plasticitÈ du cerveau est universelle !
Pourquoi dÈcide-t-on inconsciemment de maintenir le mal Ãtre alors que nous pourrions dÈcider tout aussi inconsciemment de changer et dÃ*opter pour la sÈrÈnitÈ, le bien Ãtre, le libre arbitre, les nouveaux apprentissagesÖ ?
Serions-nous conditionnÈs ‡ la dÈpression, ‡ la dÈpendance, ‡ la certitude que certains traumatismes sont Èvidents, ‡ des croyances limitantes, ‡ des lois sociales aliÈnantesÖ ? :twisted:
La dÈpression nÃ*est pas planÈtaire et elle nÃ*existe pas dans de nombreuses cultures o˘ les lois de la nature prÈdominent.
Allons consulter lÃ*ouvrage de Catherine Lutz, ethnologue chez les Ifaluk. Quand l'ethnopsychologue se rend compte que chaque concept entraÓne une attitude. Le mot entraÓne le maux pourrait dire Boris Cyrulnik
Allons faire un tour, chez les Trobriands o˘ les pËres sont fiers quand leurs trËs jeunes progÈnitures sÃ*engagent librement dans la sexualitÈ.
Rappelez-vous, comment certains de vos parents considÈraient avec mÈpris les parties gÈnitales. Souvenez-vous ou Ècoutez encore combien il est immoral, immonde, impur, obscËne de faire lÃ*amour avec lÃ*homme, la femme que lÃ*on dÈsire hors contexte culturels, ou encore de parler de sexualitÈ quand on est dans lÃ*univers judÈo-chrÈtien. :!:
Les certitudes dÃ*interdits sociaux et traumatismes correspondants sont tellement diffÈrents dÃ*un cÙtÈ et dÃ*un autre de lÃ*espace-temps de notre planËte.
Ecoutez et lisez les grandes thÈories sur la dÈpression, sur les traumatismes et leurs causes. NÃ*y aurait-il pas l‡ des considÈrations impropres, thÈories subjectives et non objectives, inhibantes pour la nature humaine ? :twisted: :evil:
Quand les neurobiologistes prouvent, actuellement, que la plasticitÈ du cerveau est incontestable ; quand lÃ*Ètude des diffÈrentes cultures attestent que selon les lieux et les temps, les croyances, les comportements, les certitudes, les maladies, la psychologieÖsont divergentes, opposÈs, antithÈtiques, contradictoires : ne doit pas, maintenant, travailler plutÙt sur le dÈpassement de nous-mÃmes que sur les aberrations sociaux-culturelles ?
Je crie haro sur les croyances localisÈes et jÃ*encense, je magnifie la nature humaine, son potentiel et sa crÈativitÈ infinie.
Je suis persuadÈe que l'Ãtre humain ne sait pas toujours, qu'il est suffisamment fort pour changer et que dans son for inconscient tout est dÈj‡ possible. Seule condition peut-Ãtre : se dÈfaire un instant, le temps du changement, des croyances culturelles, faire table rase un moment, vider et laisser le corps et l'esprit se mÈtamorphoser.
Lors d'une sÈance d'hypnose, d'un moment surprenant, ou encore lors du sommeil, ou bien lors des phases de creux du biorythme...quelque chose dans la l'electro-biochime de notre cerveau peut se passer et dÈfaire ou engendrer des expressions de l'Ãtre, encore inÈdites jusqu'‡ l‡. :!: :idea:
Pourquoi dÈcide-t-on inconsciemment de maintenir le mal Ãtre alors que nous pourrions dÈcider tout aussi inconsciemment de changer et dÃ*opter pour la sÈrÈnitÈ, le bien Ãtre, le libre arbitre, les nouveaux apprentissagesÖ ?
Serions-nous conditionnÈs ‡ la dÈpression, ‡ la dÈpendance, ‡ la certitude que certains traumatismes sont Èvidents, ‡ des croyances limitantes, ‡ des lois sociales aliÈnantesÖ ? :twisted:
La dÈpression nÃ*est pas planÈtaire et elle nÃ*existe pas dans de nombreuses cultures o˘ les lois de la nature prÈdominent.
Allons consulter lÃ*ouvrage de Catherine Lutz, ethnologue chez les Ifaluk. Quand l'ethnopsychologue se rend compte que chaque concept entraÓne une attitude. Le mot entraÓne le maux pourrait dire Boris Cyrulnik
Allons faire un tour, chez les Trobriands o˘ les pËres sont fiers quand leurs trËs jeunes progÈnitures sÃ*engagent librement dans la sexualitÈ.
Rappelez-vous, comment certains de vos parents considÈraient avec mÈpris les parties gÈnitales. Souvenez-vous ou Ècoutez encore combien il est immoral, immonde, impur, obscËne de faire lÃ*amour avec lÃ*homme, la femme que lÃ*on dÈsire hors contexte culturels, ou encore de parler de sexualitÈ quand on est dans lÃ*univers judÈo-chrÈtien. :!:
Les certitudes dÃ*interdits sociaux et traumatismes correspondants sont tellement diffÈrents dÃ*un cÙtÈ et dÃ*un autre de lÃ*espace-temps de notre planËte.
Ecoutez et lisez les grandes thÈories sur la dÈpression, sur les traumatismes et leurs causes. NÃ*y aurait-il pas l‡ des considÈrations impropres, thÈories subjectives et non objectives, inhibantes pour la nature humaine ? :twisted: :evil:
Quand les neurobiologistes prouvent, actuellement, que la plasticitÈ du cerveau est incontestable ; quand lÃ*Ètude des diffÈrentes cultures attestent que selon les lieux et les temps, les croyances, les comportements, les certitudes, les maladies, la psychologieÖsont divergentes, opposÈs, antithÈtiques, contradictoires : ne doit pas, maintenant, travailler plutÙt sur le dÈpassement de nous-mÃmes que sur les aberrations sociaux-culturelles ?
Je crie haro sur les croyances localisÈes et jÃ*encense, je magnifie la nature humaine, son potentiel et sa crÈativitÈ infinie.
Je suis persuadÈe que l'Ãtre humain ne sait pas toujours, qu'il est suffisamment fort pour changer et que dans son for inconscient tout est dÈj‡ possible. Seule condition peut-Ãtre : se dÈfaire un instant, le temps du changement, des croyances culturelles, faire table rase un moment, vider et laisser le corps et l'esprit se mÈtamorphoser.
Lors d'une sÈance d'hypnose, d'un moment surprenant, ou encore lors du sommeil, ou bien lors des phases de creux du biorythme...quelque chose dans la l'electro-biochime de notre cerveau peut se passer et dÈfaire ou engendrer des expressions de l'Ãtre, encore inÈdites jusqu'‡ l‡. :!: :idea: